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Ecuries de la Vicomtesse
Bitterly Dim 21 Nov - 18:52
Bitterly avait, depuis toujours, eu quelques frayeurs avec les chevaux et tout ce qui pouvait leur ressembler de près ou de loin. Pourtant, depuis maintenant quelques années, elle avait peu à peu gagné des terres et des équidés. Aujourd'hui Vicomtesse et détentrice d'une Baronnie, elle possédait également quatre chevaux.
Haya, une petite jument sauvage qu'elle avait attrapé il y a des lustres, alors qu'elle débutait chez les Dames Blanches qui étaient encore les Amazones à cette époque... De petite taille, grise avec une tache fine et blanche entre les deux yeux ainsi qu'une plus grande et plus large sur le flanc droit. Elle commençait à se faire vieille mais restait pleine d'energie. C'était la seule qui comptait pour Bitterly car elle était emplie de symbolique et de souvenirs, au delà de sa race. Les autres n'avaient pas même de noms pour elle.
Numéro 2 était un vieux canasson qu'elle avait trouvé errant, les yeux fous, encore sellé, sur les routes qui reliaient Vendôme à Montmirail. Entièrement marron il faisait plus cheval de trait que monture... Depuis quelques semaines il boitait et semblait avoir la vue considérablement diminuée.
Numéro 3 et numéro 4 étaient des cadeaux d'un éleveur voisin. Chevaux on ne peut plus courant de l'époque, ils étaient gentils et dans les tons foncés.
Haya, une petite jument sauvage qu'elle avait attrapé il y a des lustres, alors qu'elle débutait chez les Dames Blanches qui étaient encore les Amazones à cette époque... De petite taille, grise avec une tache fine et blanche entre les deux yeux ainsi qu'une plus grande et plus large sur le flanc droit. Elle commençait à se faire vieille mais restait pleine d'energie. C'était la seule qui comptait pour Bitterly car elle était emplie de symbolique et de souvenirs, au delà de sa race. Les autres n'avaient pas même de noms pour elle.
Numéro 2 était un vieux canasson qu'elle avait trouvé errant, les yeux fous, encore sellé, sur les routes qui reliaient Vendôme à Montmirail. Entièrement marron il faisait plus cheval de trait que monture... Depuis quelques semaines il boitait et semblait avoir la vue considérablement diminuée.
Numéro 3 et numéro 4 étaient des cadeaux d'un éleveur voisin. Chevaux on ne peut plus courant de l'époque, ils étaient gentils et dans les tons foncés.
Bitterly- Vicomtesse de Montoire
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Messages : 85
Date d'inscription : 03/11/2010 -
Re: Ecuries de la Vicomtesse
Pierre Louis Mar 11 Jan - 0:51
[lors de son arrivée au château, avant le retour de la vicomtesse...]
Pierre Louis était arrivé depuis peu de jour au château de la vicomtesse. En bon écuyer la première chose qu'il fit fût de visiter les écuries. Il trouva des box vides et d'autres occupés. Certain à peu près entretenus, d'autre laissés à l'abandon. Il fût certain d'une chose c'est qu'il n'allait pas manquer de travail.
Il releva ses manches et commença sur le champ. Cherchant un peu il trouva une vieille fourche rouillée, il s'en saisit et commença à sortir tout l'avoine et la paille qui trainait mélanger aux excrément des animaux.
Il déposa le tout dans un coin, cela fera du bon fumier pour les champs.
Ceci fait la route était encore longue pour tout remettre à neuf. Il ouvrit donc quelques box, fit sortir les bêtes et les accrocha dans la cour en attendant. Puis prenant un sceau il se rendit au puits. Après quelque coup de manivelle le sceau fût remplit et vider dans la foulée sur le sol de l'écurie et des box.
Pierre recommença plusieurs fois l'opération et il récura le tout, jusqu'à ce qu'il fût satisfait de la propreté du sol.
Là il prit quelques minutes de pose, souffla un coup, s'essuyant le front avec sa manche. Il était quelque peu crasseux à se moment et si la vicomtesse venait à l'appeler dans quel état se présenterait-il ?? Il bût un coup pour se redonner du courage puis se leva.
Trêve de distraction, il fallait maintenant réparer quelque box. Un marteau à la main, quelque clou dans une poche et des planches de bois sous le bras il commença son œuvre. Remplaçant des planches qui manquaient sur les portes et les séparations. Ponçant les anciens bois pour leur redonner un coup de jeune. Il avait commencer le matin à nettoyer l'écurie et il était prêt de cinq heures quand il enfonça le dernier clou.
Alpaguant un homme qui passait dans la cour il lui demanda:
Excusez moi l'ami, où puis-je trouver du fourrage et de l'avoine pour les chevaux?
Ah ça pour sur vous en trouverez dans la r'mise là bas au fond d'la cour. Mais attention hein, n'allez point abuser c'est qu'sé pas gratuit tout ça et la vicomtesse l'est un peu pingre.
Ne vous inquiétez pas, je ferai pour le mieux, merci....
Pierre se rendit donc dans la remise, et entama quelques allez retour avec la brouette pour ramener 6 ballot de pailles et 3 sacs d'avoine.
Il déposa la paille au sol dans les box, formant une petite couche confortable, remplit les mangeoires d'avoine, versa de l'eau dans les sceau et fit rentrer les chevaux.
Il lui restait 2 ballots de pailles, il les déposa dans un coin de l'écurie non loin de la porte, à côté d'une petite table. Sur les ballots il déposa une couverture. Sur la table quelques bougies. Voilà sa couche était prête...Il s'y étendit, broya un peu d'avoine avec de l'eau. Cette mélasse lui servit de repas. Finalement il s'allongea et tomba de fatigue, il était prêt de 8 heures du soir et le soleil commençait à s'en aller....
Pierre Louis était arrivé depuis peu de jour au château de la vicomtesse. En bon écuyer la première chose qu'il fit fût de visiter les écuries. Il trouva des box vides et d'autres occupés. Certain à peu près entretenus, d'autre laissés à l'abandon. Il fût certain d'une chose c'est qu'il n'allait pas manquer de travail.
Il releva ses manches et commença sur le champ. Cherchant un peu il trouva une vieille fourche rouillée, il s'en saisit et commença à sortir tout l'avoine et la paille qui trainait mélanger aux excrément des animaux.
Il déposa le tout dans un coin, cela fera du bon fumier pour les champs.
Ceci fait la route était encore longue pour tout remettre à neuf. Il ouvrit donc quelques box, fit sortir les bêtes et les accrocha dans la cour en attendant. Puis prenant un sceau il se rendit au puits. Après quelque coup de manivelle le sceau fût remplit et vider dans la foulée sur le sol de l'écurie et des box.
Pierre recommença plusieurs fois l'opération et il récura le tout, jusqu'à ce qu'il fût satisfait de la propreté du sol.
Là il prit quelques minutes de pose, souffla un coup, s'essuyant le front avec sa manche. Il était quelque peu crasseux à se moment et si la vicomtesse venait à l'appeler dans quel état se présenterait-il ?? Il bût un coup pour se redonner du courage puis se leva.
Trêve de distraction, il fallait maintenant réparer quelque box. Un marteau à la main, quelque clou dans une poche et des planches de bois sous le bras il commença son œuvre. Remplaçant des planches qui manquaient sur les portes et les séparations. Ponçant les anciens bois pour leur redonner un coup de jeune. Il avait commencer le matin à nettoyer l'écurie et il était prêt de cinq heures quand il enfonça le dernier clou.
Alpaguant un homme qui passait dans la cour il lui demanda:
Excusez moi l'ami, où puis-je trouver du fourrage et de l'avoine pour les chevaux?
Ah ça pour sur vous en trouverez dans la r'mise là bas au fond d'la cour. Mais attention hein, n'allez point abuser c'est qu'sé pas gratuit tout ça et la vicomtesse l'est un peu pingre.
Ne vous inquiétez pas, je ferai pour le mieux, merci....
Pierre se rendit donc dans la remise, et entama quelques allez retour avec la brouette pour ramener 6 ballot de pailles et 3 sacs d'avoine.
Il déposa la paille au sol dans les box, formant une petite couche confortable, remplit les mangeoires d'avoine, versa de l'eau dans les sceau et fit rentrer les chevaux.
Il lui restait 2 ballots de pailles, il les déposa dans un coin de l'écurie non loin de la porte, à côté d'une petite table. Sur les ballots il déposa une couverture. Sur la table quelques bougies. Voilà sa couche était prête...Il s'y étendit, broya un peu d'avoine avec de l'eau. Cette mélasse lui servit de repas. Finalement il s'allongea et tomba de fatigue, il était prêt de 8 heures du soir et le soleil commençait à s'en aller....
Pierre Louis-
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Date d'inscription : 21/11/2010
Localisation : Vendôme
Titre : Ecuyer d'la vicomtesse
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